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Des valeurs

L'humain

L'indépendance

L’humain

« Le premier travail d’un commerçant, c’est de prendre soin des gens, voilà le point de départ. » Et il ajoute : « prendre soin des gens qui nous font confiance. » Cet échange, « ça ne nuit pas aux affaires », reconnaît Jean-Philippe, mais l’apport n’est pas calculable. « Par contre, ça crée de super moments. »

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L’indépendance

 Jean-Philippe Douis dit avoir toujours eu en tête d’avoir son propre magasin.

« Je ne voulais pas être enfermé dans un système de pensée, dans un mode économique charté, cablé, avec des produits que je ne connais pas sur des supports qui ne sont pas les miens. Je voulais surtout être libre, tout simplement. »

 

Ça n’a pas été facile, il a fallu rebondir après l’échec du départ, une collection « complètement pourrie, mal fabriquée ».

Après s’être fourvoyé avec un premier partenaire, l’aide du père d’Aristide, son associé, qui travaille dans le domaine de la distribution, est déterminante et facilitatrice. Pas celle des institutions : « le système fait qu’on donne des aides quand on n’en a plus besoin. »


Aristide renchérit : « On n’a pas le temps de chercher des aides, on bosse toute la journée ! »

« Le temps consacré à chercher, c’est de l’argent qui ne rentre pas. Je préfère ne pas demander. »  

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