L’argument « écologique » n’est pas utilisé.
Naoned est présent sur la plupart des grands Salons internationaux, et la marque se vend à l’international : à New York, à Séoul, à Seattle, à Sydney… « C’est français, c’est super trendy ». Ce qui prime, c’est le dessin,
« dessiné par un designer français. »
La marque s’approvisionne en Italie, avec de l’acétane de cellulose composé à 70% de coton. Le leader mondial est italien. Il vient de fusionner avec un Chinois : « Dans mes achats, j’ai comme exigence que ce soit de la matière italienne. »
Les verres viennent de Fougères : soit « 100% de mes achats, pour générer deux ou trois SMIC »
Naoned : un choix
« anti-marketing »
présent à l'international
Un engagement vis-à-vis du territoire : créer de l’emploi
L’approvisionnement : européen
« La Chine : j’ai été deux fois en Chine, ils travaillent hyper-bien… mais ils sont à l’autre bout du monde. » Travailler avec l’Asie, obligerait à s’engager sur des volumes importants. La proximité permet la petite série : 25 lunettes à la couleur. Et la personnalisation du produit.
Et la tentation de la Chine alors ?
Du local à l’international
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Jean-Philippe reprend à son compte le slogan : « nos emplettes sont nos emplois »
L’atelier de fabrication est à Nantes (Chantenay). Pourquoi le choix d’une production en local ? C’est viscéral : « mon grand père était viticulteur », « et puis c’est surtout super pratique ! »
Avec Naoned, 4 personnes ont été recrutées à l’atelier de Chantenay.
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